Maelthra Magthere
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Des Dragons et de la Magie
 
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 Merryn Ish Al Sizun [Infirmier]

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2 participants
AuteurMessage
Merryn Ish Al Sizun

Reptile venimeux

Merryn Ish Al Sizun


Messages : 136
Date d'inscription : 27/09/2009
Race : Petit peuplier à grandes dents
Fonction : Infirmier
Age du Personnage : Intemporel

Carnet Draconique
Nom du Dragon: Ssssss
Merryn Ish Al Sizun [Infirmier] Empty
MessageSujet: Merryn Ish Al Sizun [Infirmier]   Merryn Ish Al Sizun [Infirmier] I_icon_minitimeDim 27 Sep - 0:54

    * Identité

    Nom : Ish Al Sizun
    Prénom : Merryn
    Âge : On dit que le peuple féerique est doté d’une jeunesse éternelle. Merryn à en apparence l’âge d’une personne entre vingt-cinq et trente ans mais son âge il a arrêté de le compter.
    Sexe : Masculin
    Race : Prenez un humain issu d’un changeling et une fée, vous obtiendrez une demi fée ensuite rajoutez une nymphe puis une sylphe, une pincée de farfadets, korrigans et kobolds mélangez le tout avec un éfrit et un elfe, et si vous avez de la chance mettez un soupçon de marid. Vous êtes perdu ? Pour résumer Merryn est originaire du Petit Peuple.
    État civil : Veuf
    Élément : Flore
    Poste souhaité : Infirmier
    Ancienneté : Il est arrivé quelques jours avant la rentrée

    * Je suis unique

    Caractère : A premier abord très froid, Merryn n’a pas une personnalité très complexe, il se comporte généralement de la même façon avec tout le monde, excepté avec ses supérieurs qui ont le droit à respect et politesse. Merryn est une personne assez antipathique et proche de la misanthropie. Son lunatisme a tendance à accentuer sa constante mauvaise humeur bien qu’il ne se mette jamais en colère. Il se complait dans sa solitude bien qu’il n’ait pas de problème à se trouver régulièrement avec d’autres personnes cependant il ne parle que lorsque cela lui parait nécessaire ou pour laisser libre court à son mépris et à ses sarcasmes.
    Beaucoup sont ceux qui le trouvent énigmatique, froid et ne comprennent pas son manque de sympathie. Merryn, se garde bien d’expliquer sa façon de penser à ses moments là car il n’accorde aucune importance à l’opinion qu’on a de lui bien qu’il soit fier comme un paon et qu’il ait un ego surdéveloppé.

    Malgré sa méchanceté récurrente, il reste dans un calme impassible quoi qu’il arrive et est en harmonie avec lui-même, à tel point qu’il paraît être dénué de toute notion de sentiment.
    Depuis de nombreuses années Merryn est un menteur invétéré, la plupart du temps ses discours ne sont qu’un tissu de mensonges notamment lorsqu’il se trouve obligé de parler de sa propre vie. Il se plait beaucoup à manipuler les gens autour de lui, il est d’ailleurs rapidement tenté par la vengeance s’il se rend compte qu’on essaye de l’influencer d’une quelconque manière.

    Merryn n’a d’admiration pour personne et n’a confiance qu’en lui. Sa volonté de fer le pousse à être un ardent travailleur : efficace, méticuleux, perfectionniste. S’il veut quelque chose il fera tout pour l’avoir. De même s’il faut qu’il fasse quelque chose il le fait sans poser de question car il sait où est sa place et ne cherche pas à se mettre au dessus de ses supérieurs.

    Merryn est un homme réaliste mais aussi un fervent croyant qui aspire à une élévation spirituelle bien qu’il ne semble pas vraiment croire en la bonté et l’amour des autres. Mais après tout peut être qu’un autre homme se cache derrière la caricature froide et sévère d’un insensible.

    « Le monde est un grand bal où chacun est masqué. »

    Physique : Malgré sa petite taille, un mètre trente, Merryn ne passe que rarement inaperçu, souvent les regards se sont portés sur ce petit homme doté d’une démarche assurée et d’une surprenante jeunesse. Sa musculature n’est pas vraiment développée, ce qui lui permet d’allier souplesse et rapidité. Il n’a qu’une devise : Rapidité, Précision, Efficacité.

    Rapidement le regard se porte sur son visage aux traits bruts malgré la finesse, la beauté et même la féminité qui se dégagent comme la marque du peuple d’où il est originaire. Cependant son visage n’adopte jamais d’expression particulière et apparaît souvent comme froid. Ses yeux sont des halos d’un bleu glacé qui ressortent sur sa peau fine et diaphane. De plus Merryn a poussé la recherche dans les propriétés curatives des plantes si loin que sa peau est extraordinairement lisse et parfaite, dénuée de toute trace de cicatrice. Mais dans son regard on ne perçoit jamais de chaleur, seul l’éclair de méchanceté glaciale foudroie quiconque ose plonger ses yeux dans les siens.
    Sa longue chevelure raide et noire, parsemée de mèches blanches, retombe sur son visage en recouvrant toute la moitié gauche.

    Merryn n’a pas de style vestimentaire particulier, il ne met jamais rien d’extravagant car il ne voit aucune utilité à attirer l’attention de personnes dont il se fiche totalement. Mais les regards interloqués face à cet homme à la fois rebutant et fascinant font parfois naître un sourire narquois sur ses fines lèvres.

    Habitudes et préférences : Merryn ne tolère en aucun cas qu’on utilise son prénom, il se fait toujours appeler monsieur Ish Al Sizun ou plus communément Ish Al Sizun (parfois abrégé en Ish Al). Il reste la plupart du temps seul, dans l’infirmerie et passe beaucoup de temps à cultiver et s’occuper de ses plantes, on croit souvent qu’il parle seul mais il s’adresse toujours à ses plantes ou à Siffrit ce qui lui vaut la réputation de n’avoir plus toute sa tête.
    Au niveau de son travail, Merryn soigne la plupart des blessures avec des plantes, souvent des mixtures à boire qu’il s’efforce de faire les plus infectes possibles rien que pour faire passer l’envie aux élèves d’être malades à tout bout de champ, et puis il ne sera pas toujours là !

    Image(s) de votre personnage : Merryn - Artiste
    Signes particuliers : Merryn a le tatouage d’un serpent qui se mord la queue, enroulé autour de son poignet droit mais il n’aime pas le montrer et le cache souvent avec un gant et des manches longues. Il a aussi perdu son œil gauche qu’il cache avec une longue mèche de cheveux. Il prétexte généralement des blessures de guerre.

    * Histoire

    Biographie :
    « Il y a des gens qui n'auraient jamais été amoureux, s'ils n'avaient jamais entendu parler de l'amour. »

    _-_

    « Non non cela n’est pas possible, vraiment, le temps n’est pas ce que l’on croit. A quoi riment les jours, les mois, les années ? Oh tu sais je ne compte plus. Non ce n’est pas que je suis las de la vie et j’y trouve encore beaucoup de joie. Cesses donc, tu m’ennuies avec ton pessimisme. Non je ne suis pas grognon. J’ai toujours été comme ça tu devrais le savoir. Non non je te dis que le temps pour moi n’est rien, car vois-tu… »

    Les premières feuilles d’or terni étaient tombées il y a quelques jours, ce n’était pourtant pas l’automne, à peine la fin de l’été et comme chaque année le temps se faisait un peu plus froid, le soleil moins haut, la mélancolie s’emparait peu à peu des esprits profilant le déclin d’une année de plus.

    Là bas sur le sentier c’était un homme chétif qui marchait, ses pas se faisaient incertains et lents, la cape qui le recouvrait presque entièrement semblait même faire de lui un vieil homme. Et pourtant son visage voulait démontrer le contraire : sa peau était pâle comme si elle n’avait jamais vu le soleil, lisse sans la moindre trace de ride ou de cicatrice comme celle d’un nouveau né. Mais à travers cette image de la jeunesse, un regard glacial et terne attirait l’attention, c’était le regard de celui qui a tout vu et qui n’ose plus regarder, la mort et la désillusion étaient l’ombre du reflet qui brillait autrefois dans ses yeux.

    Cet homme pourtant n’errait pas, on pourrait plutôt penser qu’il porte seulement en lui le lourd fardeau d’une vie qu’il ne comprend plus et qui n’aurait peut être jamais dû se passer ainsi.

    « Quand on est jeune on se laisse bien vite emporter par les premières joies de la vie, on goûte à tout, on rit et on oublie vite. Ce qu’on ne sait pas c’est qu’on est hanté par tout ce passé plus tard, cette vie si frivole et perdue dans le temps se détache comme une comète étincelante dans le ciel. Et pourtant on regrette, on ne rêve que d’y retourner pas moi. Comment peut-on vouloir revivre la même jeunesse une fois qu’on a l’expérience. Oh tu sais je suis jeune dans mon corps mais si vieux dans mon esprit… Non ce décalage n’est pas désagréable, après tout je peux bien faire ce que je veux à la manière d’un enfant mais de façon plus raisonnée. Ce qui importe c’est de mettre de la précision dans ses actes… »

    Il n’était pas très loin et il avait encore plusieurs semaines, largement le temps alors pourquoi se presser ? Le temps pour lui n’était rien de bien important, il avait vu passer les années, vieillir les autres, leur mort était ancrée dans sa mémoire. Fallait-il réellement continuer à fréquenter ces gens dotés d’une vie si courte ? Mais s’enfermer parmi les siens, retourner là bas et dépérir à petit feu n’était pas la vie dont il rêvait, la spontanéité de ces peuples l’avait toujours fait sourire et il ne voyait pas sa vie autrement.

    « Je radote comme un vieux ? Mais que veux-tu, avec toi je n’ai rien d’autre à faire. Non ce n’est pas pour ça que je vais là bas, je n’ai absolument rien à faire de tous ces gosses aussi stupides qu’inconscients ! Oh je n’en sais rien, je n’ai rien d’autre à faire de toute manière, il n’y a pas de travail dans ces forêts et puis tu sais quel effet me fait l’automne. Et puis il est temps d’oublier, de recommencer une nouvelle vie, tu ne crois pas ? Nous arrivons à l’aboutissement… Je sais mais cela prendra le temps qu’il faudra, depuis quand le temps m’importe-t-il ? Qu’est ce que tu peux être ignorant, tu me désespères, il faudra commencer par… »

    Le jour était en fait à peine commencé, le vent frais s’infiltrait entre les arbres pour donner ce bruit unique qui était devenu comme une douce musique. Le sol était encore humidifié par la rosée et le bruit de ses pas faisait écho au son monotone et sourd de la hache qui saigne les arbres tout là bas.

    _-_

    « Les fleurs du printemps sont les rêves de l'hiver racontés, le matin, à la table des anges. »

    L’enfance est comme une sorte d’âge d’or, en vivant dans une totale ignorance la pureté habite ces petits êtres dénués de tout péchés et vices. La bonté et un amour tendre et sans limite décrivent à elles seules l’état d’esprit d’un enfant. Leur regard ingénu ne saurait comprendre la complexité de la vie et toutes les choses auxquelles les grands sont confrontés. Ils n’aspirent pas à grandir mais seulement à vivre heureux au jour le jour sans se poser de question sur le futur même le plus proche.

    Ce petit garçon haut comme trois pommes entouré de tant d’autres enfants lui ne le sait pas encore et eux non plus. Réfléchir ne leur vient même pas à l’esprit et tout ce qui compte c’est de trouver un jeu pour aujourd’hui, aussi naïf aux yeux des autres soit-il. Mais qui ne regarde pas ces enfants avec un sourire sur les lèvres, se rappelant ses tendres années d’enfance où tous les problèmes et la vie elle-même étaient si loin ? Car pour eux la vie n’est rien d’autre qu’une multitude de jeux d’enfants, connus depuis des générations et inventés au fil du temps.

    ~
    Cependant l’enfance ne dure qu’un temps et aussi bref soit-il, il laisse place à d’autres joies, différentes, parfois plus intenses.
    Ce jour là n’était pas comme les autres, il ne pouvait le considérer autrement car il avait tracé toute une partie de son futur, quelque chose auquel il semblait qu’il n’avait pu échapper.
    Il n’aurait pas dû se retourner, non jamais regarder à sa droite, il n’était pas fait pour cette vie et pourtant il l’avait fait, parce que c’était encore le temps de l’ignorance et que sa personnalité ne s’était pas encore formée. Tout simplement parce qu’il ne savait pas et qu’il voulait tout connaître, être comme les autres.
    ~

    « Excusez moi. »

    Une voix claire venant de derrière lui dissipa les pensées qui s’étaient accaparées de son esprit. Aussitôt il se retourna pour répondre à la jeune femme qui à sa voix semblait être étrangère.
    Il fut comme frappé par la candeur de son visage et ses traits si doux. Son regard se perdit dans la contemplation de la beauté irréelle de cette créature dont il ne savait rien. Ses yeux dégageaient une grâce majestueuse et un léger sourire s’était dessiné sur ses lèvres d’un joli rouge. Il fut étonné de la courbe que prenaient ses cheveux, coiffés en une sorte de chignon, et fut émerveillé de l’élégance que cela pouvait lui donner. Son teint se mit à rosir comme lorsqu’elle était jeune fille. C’était comme s’il voyait une femme pour la première fois. Il avait tout oublié, ce qu’elle voulait, ce qu’il faisait un instant plus tôt car plus rien d’autre n’existait. La seule chose qui importait était la manière dont les rayons du soleil descendaient sur son visage pour l’irradier de lumière. Il tressaillit lorsque leurs regards se croisèrent pour la première fois et que le son de sa voix retentit à nouveau.

    « Excusez moi monsieur, je cherche Armael Eginhard. »

    Il fut soudainement jaloux de son ami, unique centre d’intérêt de cette femme qui avait bouleversé quelque chose au fond de lui-même. Il demeurait muet, envoûté par les ondulations de sa robe de soie. Il aurait voulu tout savoir d’elle.

    « Arvael… oh je ne sais pas du tout où il se trouve mais je peux vous aider à le chercher. »
    « Je vous remercie, mais je ne connais même pas votre nom ! »
    « Merryn… Merryn Ish Al Sizun et vous ? »
    « Je m’appelle Eilidh Meryen. »


    _-_

    « Les brefs étés ont souvent des printemps précoces. »

    Les années avaient passé et le bonheur lui-même avait été croissant. Elle lui avait appris l’amour à force de longs discours passionnés, elle croyait plus que tout au « grand amour » et il avait fini par s’abandonner à ce doux plaisir auquel il ne comprenait pas grand-chose. Mais le temps avait tué le doute et les interrogations, il était devenu comme les autres : il ne vivait que par l’amour. Doublement aveuglé.

    Ce jour là il avait fini par croire qu’il devait être le plus beau de sa vie. Famille, amis ou simples invités s’étaient rassemblés pour commémorer une union des plus sacrées.
    Lui-même était confiant, certain que ce bonheur lui appartenait pour toujours, certain qu’il était fait pour cette vie remplie des plus belles joies. Aucune trace de nuage n’était perceptible dans le ciel bleu azur, était-il vraiment possible de penser que le plus beau temps précède toujours le pire des orages ?

    Debout devant l’autel, ébloui par la majestueuse femme qui était apparue et s’avançait vers lui, il était dans un état second, réalisant à peine ce qu’il se passait.
    Elle était là, en face de lui et il avait pris ses mains dans les siennes, ébloui par le large sourire qui rendait son visage radieux.

    C’était un conte de fée auquel il croyait dur comme fer, simplement parce qu’il est indéniable que l’amour ébranle la vie, pour le meilleur et pour le pire. Il était entré au Paradis le jour où il s’était noyé dans l’océan ambré de ses yeux.

    ~

    Un cri trancha la tranquillité du jour. Plusieurs larmes coulèrent.
    Ce jour là devait être le plus beau de sa vie, non de leur vie. Il le prit délicatement dans ses bras tout en chantant très légèrement une berceuse, adressant régulièrement un sourire rayonnant à sa femme.

    Ynys était né au début du plus bel été, lorsqu’il ne faisait pas encore trop chaud et que le soleil irradiait presque éternellement la journée de chacun. Ou peut être était-ce sa naissance qui avait fait de cet été le meilleur qu’il n’avait jamais connu. C’était sans doute ça, aucun dieu n’aurait pu résister à donner le plus belle journée de l’année à ce petit être qui possédait à lui seul toutes les qualités. Il avait les traits de sa mère, les yeux de son père et tout le monde vantait déjà ses beautés, même ceux qui ne l’avaient pas vu.

    Les rires des deux jeunes mariés résonnaient dans l’air d’un soir d’été, comme si la vie n’était qu’un léger rêve, une bulle qui planait et qui ne pourrait jamais éclater.

    _-_

    « L'automne raconte à la terre les feuilles qu'elle a prêtées à l'été. »

    La forêt était calme ce jour là, seule une pluie fine parvenait à s’infiltrer entre les arbres et le bruissement de l’eau retentissait continuellement. Ses pas se faisaient de plus en plus indéterminés, il lui semblait qu’elle s’était perdue. Regardant à droite, à gauche elle ne reconnaissait pas grand-chose, ce n’était qu’une suite d’arbres qui se ressemblaient tous.
    A travers le murmure de la pluie se détachait plusieurs voix, douces, à l’unisson comme une sorte de prière. Elle suivit le son, il s’agissait sans doute de prêtres qui pourraient lui indiquer le chemin, elle espérait seulement ne pas interrompre une cérémonie sacrée et se faire blâmer pour cela.

    Dehors il pleuvait et beaucoup s’étaient rassemblés dans la grande habitation, une sorte de salle en bois où on se réunissait pour de grands événements ou lorsqu’il pleuvait et qu’on ne voulait pas s’enfermer dans la solitude de sa demeure. Son visage était des plus radieux et en compagnie d’autres adultes il regardait avec amusement son fils jouer avec ses amis. Cela éveillait en lui une sorte de nostalgie, des images de sa propre enfance. C’était le temps où il maîtrisait encore sa vie et il eut l’impression que ce Merryn là était un autre, non ce ne pouvait être lui ! Peu importait, il était si heureux maintenant qu’il lui semblait inconcevable d’avoir encore plus de bonheur. Il était confiant, comme chacun ici il passerait sa vie dans le plus pur des bonheurs, si fort que rien ne pourrait le briser, ce n’était qu’une parfaite constante, inébranlable. L’idée même de penser à la fin d’un tel bonheur lui paraissait curieuse et il l’oublia bien vite, plongé dans le brouhaha et la foule d’amis et d’enfants qu’il chérissait tous.

    La pluie semblait se contenter de rafraîchir son visage, illuminant ses cheveux de petits cristaux et malgré la chute des températures elle n’avait pas froid. Les voix se faisaient un peu plus proches mais étaient si étranges qu’elles semblaient retentir dans toute la forêt. Venant de partout et nulle part à la fois, son ouïe fine avait quand même réussi à trouver le chemin qui menait au chant incompréhensible d’hommes qui lui apparaissaient comme des prêtres.
    Elle finit par arriver à l’orée d’une clairière et se retrouva devant une assemblée d’hommes vêtus de robes rouge sombre. Aussitôt ils se turent et leurs regards lui glacèrent le sang.

    Elle. C’était toute sa vie, son essence, son âme, l’objet constant de ses pensées. Ange de lumière, elle l’avait touché de sa grâce et de sa candeur, elle était la seule capable de le comprendre à merveille, il n’y avait pas une pensée qu’elle n’aurait su deviner.
    Les yeux bandés, ses doigts parcouraient son bras nu, glissant sur la peau lisse et douce de la jeune femme. Remontant jusqu’à son visage il redécouvrait en aveugle les formes parfaites qu’il avait apprises par cœur. Le sourire jusqu’aux oreilles il s’abandonnait totalement à l’ivresse d’un bonheur interdit.

    Tous étaient désormais retournés, agacés de voir leur rituel interrompu. Elle était saisie par une peur incontrôlable et elle savait qu’ils le sentaient. Elle murmura quelques paroles d’excuses, elle s’était perdue mais si elle avait su elle ne serait jamais venue… Ricanements. Terreur. Des sourires malsains. Horreur. Leurs yeux qui brillaient… Non.
    L’un s’avança, sans un mot, ses yeux plantés dans les siens, elle était si terrorisée qu’elle ne réfléchissait même plus, incapable du moindre mouvement.
    Merryn… Merryn…
    Il attrapa son bras, elle poussa un cri strident. Il la tira jusqu’au centre du cercle, les autres se rapprochaient doucement. Le pire était à venir mais son angoisse était telle qu’elle pensait qu’elle mourrait de terreur, hélas si seulement ça avait été son destin…
    Tétanisée, elle ne pouvait même pas fermer les yeux. Ils étaient contre elle, la touchaient. Le moindre contact la révulsait. Elle criait, criait mais la forêt était morte, personne ne viendrait, jamais.

    Ses lèvres effleurèrent les siennes alors que ses mains descendirent jusqu’à sa taille pour l’attirer contre lui. Elle défit le bandeau qui tomba silencieusement au sol, il ouvrit les yeux et les plongea dans les siens, unique manière de lui communiquer toute la force de cet amour qui l’obsédait. Sa bouche s’ouvrit et se rapprocha de son oreille pour lui glisser quelques mots d’amours qui reçurent comme réponse un langoureux baiser et une étreinte passionnée…

    ~

    Un cri déchira l’épais silence. Des larmes inondèrent le sol.

    Il faisait beau aujourd’hui, comme un de ces jours d’automne où le soleil avait décidé de ressurgir, rendant l’air tiède, une agréable journée, en d’autres temps.
    Aujourd’hui les habits des gens n’étaient que d’une seule couleur et leur visage adoptait toujours la même expression. Les regarder n’apportait qu’un peu plus de douleur, les souvenirs de ces merveilleux moments revenaient un à un. Comme s’il avait une enclume dans l’estomac il avait l’impression qu’il allait tomber à terre à chaque instant, les yeux rivés au sol il n’entendait plus, ne voyait plus, non tout ce qui existait n’était que le souvenir d’une chose définitivement finie.

    « Merryn… »
    Son air était grave, on voyait qu’il pesait ses mots, lui ne comprenait pas encore pourquoi.
    « Merryn… elle est partie. »
    Oh rien n’aurait pu être pire que ce jour là, la plus profonde des douleurs s’était installée définitivement au creux de son âme et de son cœur.
    « N’y vas pas, ce n’est pas beau à voir… »
    Ne plus contempler ce visage angélique, ne plus la toucher, ne plus jamais être avec elle. Seul le souvenir persistait et c’était la plus horrible des tortures. Il aurait aimé oublier mais ne le pourrait jamais, comment abandonner le souvenir d’un être si cher à ses yeux ?
    « Je suis désolé »

    Aujourd’hui était la journée des larmes et du désespoir. On voyait bien que les gens souffraient mais le pire était cet homme parmi eux, tant rongé par la douleur qu’il était réduit à l’état de fantôme.
    Il marchait lentement, un pas puis deux, le souffle coupé, à l’agonie. Il ne pouvait plus, non pas un pas de plus, même ramper aurait été inutile parce qu’il sentait qu’il sombrait dans l’océan de ses larmes. Parce qu’il n’était plus lui, il était mort avec elle et seul son corps demeurait, monstre dénué d’âme, combien de temps lui donnerait-on ?

    « Eilidh ! Eilidh ! Mais où es-tu ? Viens… mais viens mon ange, laisse moi sentir une dernière fois ma peau contre la tienne ! Parce que ton absence est un vide qui m’étouffe. Mais reviens… Pardonne moi ! Pardonne mes fautes honteuses et mes croyances ! Pardonne moi d’avoir cru que le pire c’est le doute. Non non le pire c’est le vide parce qu’aujourd’hui tu n’es plus là ! Mais où es-tu ? Reviens ! Qu’as-tu fait ? Eilidh ! Eiliiiiiiiidh ! »

    Il marchait sans comprendre, parce qu’aujourd’hui c’était la dernière fois, la dernière journée. Parce qu’en trois mots tout était dit et qu’il ne pouvait surmonter cela. C’était comme s’il était englouti par un océan, tout s’effondrait autour de lui, son cœur lâchait, il criait, criait.

    Les hurlements d’une âme blessée à mort retentissaient encore ce soir dans le village.

    _-_

    « L’hiver, c’est la saison du recueillement de la terre, son temps de méditation, de préparation. »

    On n’a jamais compris ce qu’il s’était passé depuis ce jour là. C’était comme s’il s’était tu à jamais, que la vie l’avait quitté. Seul son corps était encore vivant.
    Bien sûr on croyait tous que ce n’était qu’une étape, Eilidh était morte dans des conditions absolument horribles et nous faisions tout pour que Merryn s’en remette mais jamais son comportement ne s’est amélioré. On avait remarqué qu’il prenait de la distance avec nous mais il faisait aussi tout pour que nous sachions qu’il tenait beaucoup à nous.
    Merryn nous a laissé dans l’incompréhension la plus totale. La mort de sa femme avait été comme un coup de poignard mais le départ de Merryn sera autant inoubliable. Ils étaient si heureux autrefois mais nous avons oublié leurs rires, seuls reviennent à nous le visage défiguré d’Eilidh et celui de Merryn, déchiré par la douleur.

    Solennellement ce soir nous te disons adieu, nous ne croyons pas à ta mort mais ton départ nous a laissé sans voix. Merryn, que ton âme revienne à la paix et que ton futur soit rempli de bonheur. Je suis sûr qu’elle aimerait que tu recommences une nouvelle vie, jamais elle n’aurait toléré que tu passes le reste de ton existence dans la souffrance si elle avait été là. Oh si seulement elle n’était pas partie ce jour là…

    Adieu, adieu mon frère.

    ~

    Impassibilité.
    Son départ lui avait permis de s’entraîner pendant de longues heures au développement de sa magie. Il avait cherché dans les plantes un remède pour soigner sa douleur mais n’y avait remédié que par l’insensibilité et le reniement de tous ses souvenirs.
    Il avait pour cela réveillé en lui chaque souvenir, malgré l’intolérable douleur, il les avait revécus un à un et les avait déclaré finis.
    Plus jamais il n’y repenserait, c’était quelque chose de terrible qu’il avait fait mais de vital, car l’homme ne peut pas vivre dans l’éternelle douleur à moins de vouloir y perdre sa raison.

    Ce qui l’avait sauvé c’était son enfance, chaque instant où il ne l’avait pas encore connu et vivait dans l’innocence et l’ignorance mais surtout dans la paix.

    Pour retrouver cette paix il s’était préparé à la guerre. Il avait communiqué avec les plantes, il était allé si loin dans la recherche de la magie qu’il aurait bien pu perdre la vie une bonne demi douzaine de fois.
    Il avait aussi rencontré cet homme qui lui avait permis de combler à plusieurs de ses lacunes : son incapacité magique dans les lieux dépourvus de flore et son manque de rigueur au niveau de son corps.
    Il avait appris à vivre sainement, à faire les gestes pour exercer son corps mais aussi exercer sa magie. Il était parvenu jusqu’à la sagesse et la paix intérieure ou plutôt il l’avait retrouvée.

    Il avait fait de sa vie une ascèse et s’était plongé dans la plus profonde des solitudes. Il avait presque perdu l’usage de la parole et son idée du monde s’était dégradée.

    Méditation.
    Le temps n’était rien, il ne s’ennuyait pas et la réflexion était la principale de ses occupations. Autant rester seul, à quoi bon se mêler à ces gens superficiels et stupides ? Croire à l’amour, à ces sentiments était ridicule à ses yeux et tout le monde y croyait dur comme fer. Comme le monde peut être aveugle !

    Il marchait comme toujours, c’était aussi une occupation qu’il appréciait, à force de voyager il découvrait de nouvelles plantes, faisait de nouvelles expériences et notait le tout dans un livre.
    Des sifflements interrompirent ses pensées et attirèrent son attention. Son ouïe étant assez fine il s’approcha silencieusement du bruit qu’il entendait.

    Là bas, deux serpents, l’un de couleur verte, l’autre albinos, se défiaient du regard et sifflait longuement. Ce n’était pas bien difficile de connaître l’issu du combat, le premier était imposant et aurait bien vite fait d’étouffer le deuxième, un très jeune serpent, avec ses anneaux.
    Merryn avait toujours aimé les reptiles et savait par conséquent reconnaître rapidement la race d’un serpent. Il fut étonné de reconnaître un Aspic, pour la première fois de sa vie il en voyait un ! La pierre blanche et à peine visible sur son front ne pouvait que le prouver. Ce n’était donc pas une légende !

    Pour la première fois depuis longtemps il sourit. Puis remarquant que le combat avait commencé et que l’énorme serpent écrasait l’Aspic il s’élança, s’emparant de l’énergie des plantes pour la plonger dans le corps du reptile vert, aussitôt celui s’effondra et l’Aspic parvint à se dégager, s’avançant vers Merryn.

    _-_

    « Eh bien tu vois ce n’était pas si difficile ! Parfois je me demande si tu es vraiment stupide ou si tu le fais exprès… Tu me désespères mon pauvre. »

    Le petit homme tout en marchant d’un pas sûr regardait droit devant lui, jouant d’une main avec la magie qu’il tirait de plante en plante. L’avantage de maîtriser la flore c’est qu’il y en avait partout et en abondance. En cas d’attaque, Siffrit, son poignard et sa magie formaient une combinaison parfaite et il était satisfait d’avoir trouvé un peu d’action, parfois un bon combat ou bien juste d’avoir ridiculisé un voleur.

    Ses yeux brillaient, il était impatient mais ne savait trop pourquoi, ce n’était pas très important pour le moment il avait encore le temps d’y réfléchir.
    Après tout s’il était accepté là bas peut être qu’il rencontrerait des personnes intéressantes et un peu plus savantes que le petit peuple tellement ignorant. Ce n’était pas qu’il fut un érudit mais pouvoir converser avec quelqu’un qui sait ce qu’il dit était toujours un moment agréable.

    « A quoi penses-tu ?! Evidemment qu’il y a des dragons là bas. Et non pas de serpents, tu crois que ça court les couloirs ces… Oh excuse moi, c’est vrai qu’un serpent ne courre pas ! »

    Sa main glissa sur la tête du reptile qui laisser échapper un sifflement. Merryn sourit.

    _-_

    « Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit. »

    Famille : Usyllt et Maelenn Ish Al Sizun, ses défunts parents, Pwyll et Izikel, ses frères, Aëla sa sœur. Eilidh Ish Al Sizun sa défunte femme, Ynys son fils.
    Eilidh
    Liens : Merryn prétend n’avoir plus aucunes attaches.

    * Suppléments

    Les pouvoirs de son élément : La connaissance impressionnante de Merryn au niveau des plantes, qui rivaliserait avec celle d’un érudit, lui a permis de développer au maximum sa magie sans qu’il puisse maîtriser totalement chacun des sorts qu’il a découverts.
    La magie florale se sépare en deux parties plutôt distinctes.
    L’une dite passive s’étend dans le domaine curatif ou au contraire toxique et se partage en trois types de sorts. Il a tout d’abord élaboré une méthode qui lui permet d’accélérer le développement des plantes ainsi que d’aider à leur santé et au bien être nécessaire à leur épanouissement. Cependant le milieu favorable doit être présent à 70% voir 50% pour les plantes les plus faciles. Il a développé une seconde technique qui agit sur les propriétés des plantes et permet d’accélérer et d’intensifier leur effet sur le corps humain par exemple. Il arrive à donner jusqu’à deux fois plus d’effets aux plantes selon l’énergie qu’il y consacre. Enfin, à force de recherches, Merryn est capable de créer de nouvelles propriétés en associant une partie de sa magie avec les plantes. Cette technique n’est toutefois possible qu’avec une parfaite connaissance de la flore et une étude à court, moyen et long terme car les nouveaux effets sont inconnus.
    Ayant consacré un temps infini à l’élaboration ainsi qu’à la perfection de ces techniques, Merryn les maîtrise parfaitement et saurait mieux que quiconque créer en peu de temps un poison ou un remède.

    La deuxième partie, dite active, a une application plus matérielle, elle se partage aussi en trois catégories. Le premier sort permet de prendre le contrôle physique de la flore qui l’entoure en la rendant soit offensive, en contrôlant ses actes, soit nuisible, sans contrôle dominant, de même pour la défense. Il s’agit d’un sort de base qui peut s’avérer très épuisant selon la force du contrôle (sachant que certaines plantes montrent une résistance) et la densité de la flore. En poursuivant sa quête dans le savoir magique, Merryn a réussi créer un contrôle « énergétique » des plantes : à mi chemin entre le contrôle physique et le contrôle spirituel, celui-ci lui permet de se servir de l’énergie (qui apparaît sous la forme d’une lumière verte et légèrement fluorescente) des plantes pour s’en servir d’une manière offensive ou défensive physique. Il a développé à partir de ce pouvoir trois techniques principales : le rayonnement, des rayons chargés des propriétés nocives de la flore qui provoquent divers effets ; l’aura qui protège contre toute attaque de force inférieure et diffuse ses propriétés curatives aux personnes se trouvant à l’intérieur ; la régénérescence qui permet de se servir de la technique de la photosynthèse pour se régénérer grâce à l’énergie du soleil, ou d’autres lumières mais les effets sont amoindris. Enfin la forte croyance de Merryn l’a poussé à penser qu’il existait une autre forme de magie, plus pure : le contrôle spirituel. Il ne maîtrise pas du tout ce contrôle mais à réussi tout de même à apprendre plusieurs techniques qu’il utilise très rarement : il a développé la régénérescence à partir des arbres (plus l’arbre est âgé plus son énergie est puissante), cette technique est uniquement personnelle et très dangereuse, si l’énergie est trop puissante l’arbre peut arriver à dominer l’esprit ce qui rendrait fou ou entraînerait la mort. La deuxième technique, essences, consiste à prendre la plus pure des énergies, qui se transforme en essence, à la faire pénétrer dans un corps et à la mêler à son énergie. Il s’agit d’un rite purificateur dont l’objectif est l’élévation vers le divin. Mais celui-ci est extrêmement délicat et entraîne la mort à la moindre erreur. De plus ce sort est assez puissant pour avoir de légères conséquences extérieures relatives au passé de la personne, à ses amitiés, etc. sans être réellement dominant. Ce sort est très épuisant et peut aussi entraîner la mort de celui qui jette le sort. Merryn ne l’a testé que quelques fois et sur de petits animaux.

    Merryn n’a que peu ou pas de maîtrise sur les sorts les plus puissants qu’il connaît mais s’entraîne dans le but d’augmenter en puissance. Il n’aime pas réellement se servir de sa magie pour se défendre ou attaquer. De plus s’il n’a pas de proximité avec la flore, il n’a aucun pouvoir ou trop faible et fatiguant pour être utile. Son pouvoir est croissant selon la proximité, Merryn est donc redoutable voir difficilement battable dans son milieu, la forêt. Pour pallier à sa faiblesse qui pourrait lui être fatale, il maîtrise à merveille les arts martiaux et combat avec des dagues ou une épée à deux mains selon les circonstances.

    Objets en sa possession : Un poignard à la lame noire avec son nom gravé dessus, une fiole de poison à base d’herbes, un liquide étrange, un grimoire vieux comme le monde écrit dans une langue rare, un livre de prières.
    Animaux de compagnie : Un serpent Aspic albinos d’une rareté inestimable nommé Siffrit. Il lui a sauvé la vie il y a bien longtemps et depuis le serpent ne le quitte plus et lui porte beaucoup d’amour, il aime d’ailleurs s’enrouler autour de son cou et reste très souvent en contact avec son corps. Merryn fait des recherches sur le venin de Siffrit et espère en apprendre plus grâce à l’impressionnante bibliothèque de l’école car lorsque le serpent mord, à moins d’être immédiatement pris en charge, la personne se vide de son sang en de longues minutes, voir une ou plusieurs heures pour les plus résistants, et meurt. C’est pourquoi le serpent doit toujours être à ses côtés.
    Siffrit - Artiste
    Autre : Merryn n’a pas de dragon et ne souhaite pas en avoir même s’il apprécie beaucoup ces reptiles gigantesques.

    * Derrière le miroir
    Un mot sur vous ? : Je suis aussi Kièran von Görlitz
    Co*de :
    Disponibilités : Généralement le mercredi et le week end, je peux passer presque tous les jours mais je n’ai pas le temps d’écrire.
    D'où connaissez Vous le forum? : /


J’aurais bien aimé, si possible, commencer mon premier rp par l’arrivé de Merryn à l’école quelques jours avant la rentrée pour son « entretien d’embauche » avec l’un des fondateurs.


Dernière édition par Merryn Ish Al Sizun le Dim 3 Jan - 0:41, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Merryn Ish Al Sizun [Infirmier]   Merryn Ish Al Sizun [Infirmier] I_icon_minitimeDim 27 Sep - 10:06

Salutations Petit Homme !

Voilà une jolie fiche que je valide avec plaisir. La lecture fut très agréable !

Bon jeu parmi nous!

Ps : J'oubliais ! Pour le RP avec un fondateur, pourquoi pas. Seulement, il faudra attendre que je sois un peu plus disponible. Tu peux commencer à l'écrire mais pour te répondre avec un fondateur, je dois déjà avoir une meilleure connexion internet. Ça prendra un peu de temps ! Wink
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MessageSujet: Re: Merryn Ish Al Sizun [Infirmier]   Merryn Ish Al Sizun [Infirmier] I_icon_minitimeDim 27 Sep - 12:51

Merci beaucoup !

En ce qui concerne le rp pas de soucis, j'ai moi même très peu de temps pour écrire, je posterais le rp dès que je l'aurais fait (dans le bureau des fondateurs je suppose ?).
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MessageSujet: Re: Merryn Ish Al Sizun [Infirmier]   Merryn Ish Al Sizun [Infirmier] I_icon_minitime

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