Nagg Opsumë [Prof de magie Offensive]

* Identité

Nom

Prénom

Âge

Sexe

Race

État civil

Élément

Poste souhaité

Ancienneté

* Je suis unique

Physique

Caractère

Habitudes et préférences

Image(s) de votre personnage

Spoiler:

Signes particuliers

* Suppléments

Capacités :

Les pouvoirs de son élément

Objets en sa possession

Animaux de compagnie

Autre

* Présentation du Dragon

Nom

Age

Sexe

Physique

Caractère

Signes Particuliers

Images

Spoiler:

* Histoire

Biographie

Comment raconter 82 ans d'une vie en peu de temps ? Je vais donc devoir vous résumer mon histoire, vous compter les éléments les plus importants, et ne pas vous faire part des détails...
Lorsque je suis né, le monde était bien différent de ce qu'il est aujourd'hui. Vous avez sûrement entendu parler du Cavalier aux Mille Visages ? Et bien, il n'existait pas encore, ou du moins, personne ne le connaissait. Ça, on pouvait dire que Dunbraven était en paix. Je ne me souviens plus vraiment de mon enfance, mais je crois qu'elle s'est déroulée sans problèmes, comme à peu près tout enfant normal. J'ai été à l'école, je crois que j'étais dans les meilleurs. Puis, vers mes 12-13 ans, il s'est passé des choses inexpliquées. J'arrivais à faire bouger de petits objets par ma seule pensée. Je me rendis alors compte que j'avais des talents de magicien, et cela m'a fasciné. Dès la sortie des classes élémentaires, je suis rentré dans une école de magie, où j'ai appris à peaufiner mes talents. J'étais surnommé "Le surdoué", je semblais apprendre plus vite que mes camarades. En revanche, j'avais tendance à être triste. Je n'avais jamais eu de petite amie, et je n'avais pas énormément d'amis. Je passais presque tout mon temps à étudier et à m'entraîner. Je suis ressortit 5 ans plus tard de cette école, avec la mention très bien à mon diplôme. Dès lors, j'ai passé le cap. Je me suis dit qu'après tout, je n'avais pas besoin d'avoir une famille. Seule contait ma soif de connaissance.

Je m'associai avec d'autres mages, et ensemble, nous contribuâmes à faire des recherches. A mon grand soulagement, je ne m'étais pas plongé dans la recherche sur l'invocation. J'ai vu deux de mes camarades se faire engloutir par un démon dont l'invocation s'était mal passée. Je me suis tenu un peu à l'écart de cette discipline jusqu'à ce qu'elle soit devenue plus sûre, et à ce moment, je me suis gavé de connaissances dans ce domaine. Bref, notre petite association aboutit à la création de nombreuses choses dont vous vous servez maintenant dans la vie de tout le jours. Certains enchantements que vous trouvez dans les livres ont été découverts par nous-même, nous étions assez renommés. Un jour, alors que je venait d'atteindre mes 26 ans, je découvris dans une vieille bibliothèque un livre à la reliure étrange. Intrigué, je l'ouvrit, et alors le dévora en une nuit. Il parlait de dragons, énonçait des grandes guerres ayant opposé humanoïdes et dragons dans un passé très lointain. Je n'y croyais qu'à moitié, cependant, certains détails particulièrement réalistes me mirent la puce à l'oreille. Dès lors, je me renseignais d'avantage. Et décidait alors de partir dans cette montagne, où selon les légendes, il y aurait encore des dragons. Je m'armais de courage et de volonté pour ce périple.

Je mis deux ans avant d'atteindre enfin mon but, deux ans particulièrement éprouvants pendant lesquels j'essuyais des attaques de brigands, pendant lesquels je dus marcher des journées entière sans nul endroit pour m'arrêter, avec très peu de vivres. Et lorsque j'arrivais au pied de cette chaîne de montagnes, je sentis le désespoir former une boule dans ma gorge. Je ne voyais rien, aucun dragon dans le ciel ni sur les monts, juste du brouillard et une sensation de mort dans l'atmosphère. Très rares étaient les hommes qui étaient allés plus loin. Mais j'avais tout prévu. Sur la roche, je dessinais un pentacle et récitait un sortilège. Une bulle se créa autour de moi, me conférant autant d'oxygène qu'il me fallait, et me demandant peu d'énergie. J'entamai alors la montée. Il me sembla grimper pendant des heures, voir un jour entier. La peau de mes mains étaient en lambeaux. Pour ne pas abandonner je me récitais sans arrêt la légende dans ma tête. "Et si c'était faux ? Et s'il n'y avait rien ?" cette pensée revenait souvent dans mon esprit, mais je la chassais toujours et encore. Les coïncidences étaient trop fortes pour que je puisse abandonner si près du but. Je m'arrêtais dans une grotte pour la nuit, et mes yeux se fermèrent dès que je me fus allongé.

Une sensation étrange me réveilla, un souffle chaud sur mon visage et mes cheveux. J'ouvris les yeux. J'étais nez à nez avec un museau écailleux et des yeux blancs luisants. Je reculais vivement, le dragon fit de même. Il était jeune. Les piques qu'il avait sur le dos était encore ronds et pas très grands, il avait une tête de petit agneau apeuré. Oh que non, il n'avait jamais du voir d'humains. Et moi, je n'avais jamais vu de dragon. Nous nous regardâmes pendant quelques minutes sans broncher. Le dragonneau ne devait pas être très âgé, et pourtant il faisait déjà environ un mètre de haut. Enfin, il osa un pas. Timidement, j'avançais ma main vers son museau. Ce geste lui fit peur et il recula. Je me mis à genoux et ne bougea plus, mon regard était chargé de bonne volonté et de pacifisme, et la créature le sentit. Elle s'approcha de nouveau, tout doucement, jusqu'à ce que le bout de son museau vienne frôler ma joue. Alors je tendit une nouvelle fois la main, le dragon ne s'écarta pas, et je caressais son encolure. Je ressentis quelque chose de bizarre tout au fond de mon âme, comme si une nouvelle présence s'était faite en moi, une présence douce et amicale. Je me sentais mieux que je ne l'avais jamais été. Un seul regard suffit à nous comprendre. Je ne voulais plus me séparer de lui, et lui non plus. Je ne sais plus de quelle manière je réussis à faire descendre la créature de la montagne, sans doute mêlant magie et escalade. Je le ramenais chez moi, dans ma verte contrée.

Le dragonneau grandit de jour en jour, et finit par atteindre la taille d'un poney, puis celle d'un cheval, puis celle d'un petit éléphant... Nous nous entendions de mieux en mieux, nos esprits semblaient ne faire plus qu'un, nous étions dans une totale confiance l'un envers l'autre. J'ai eu énormément de chance de tomber sur un dragon aussi gentil, mais à l'époque je ne le savais pas. Aujourd'hui, je sais qu'ils ne sont pas toujours ainsi. J'aurais aussi pu tomber sur un spécimen de 20 mètres de haut et me faire dévorer dans mon sommeil. Dans tout mon pays, j'étais l'un des plus connus. Les dragons étaient bien trop rares. Heureusement à cette époque, l'Alliance n'existait pas et personne ne mis notre vie en danger. Nous passions notre temps à effectuer missions périlleuses aux services des gens, livraisons rapides (car j'appris vite à voler sur son dos), et recherches sur la magie et le monde (Enfin, plutôt pour moi. Alkyon, j'avais ainsi nommé mon dragon, pendant ce temps dormais ou chassait.) Notre vie se déroula paisiblement pendant plusieurs années. Je ne croyais plus à l'amour. J'avais eu deux aventures en tout dans ma vie, qui n'avaient pas duré vraiment longtemps. J'attirais apparemment les femmes, mais rapidement elles se rendaient compte que je ne leur attribuait pas assez de mon temps, et que j'étais tout le temps le nez plongé dans mes affaires.

Et puis un jour vint l'inexplicable. Je me rendis chez un fleuriste-botaniste afin d'effectuer la commande d'une plante plutôt rare. Et je la vis. Cette jeune femme souriante, aux bouclettes blondes, et aux yeux plein de bonté. Cette femme dans sa robe légère rose pâle, avec ses fleurs dans la main. Elle me troubla. Lorsque je fut retourné chez moi, son image me hantait sans cesse. Je finis par l'accepter, j'avais eu le coup de foudre, et j'étais désespérément tombé amoureux. Je retournais la voir, soit disant pou chercher des plantes, que je revendais ou que je donnais après. Cette femme, dont j'appris qu'elle s'appelait Sarah, compris mon petit jeu et se laissait faire avec bonne humeur. Je finis par l'inviter pour un dîner. Je la vis de plus en plus souvent, quitte à laisser mon travail de côté, et même un peu Alkyon, qui m'en voulait pour ça. Aujourd'hui, il m'a pardonné. Deux ans plus tard, nous étions mariés. Et encore un peu plus tard, nous avions deux filles. Je vivais dans un bonheur absolu, je m'étais un peu plus remis dans mon travail, et je passais plus de temps avec mon dragon. Les plus belles années de ma vie. Mais la vieillesse commença à nous rattraper.

Maintenant que j'avais Alkyon, Sarah, et mes deux filles Tyaani et Enyiah, je ne voulais plus quitter ce monde. Je cherchais des sortilèges pouvant me préserver le plus longtemps possible de la mort, que je lançais sur ma femme et moi. Ainsi, nous étions encore vifs et en excellente santé, pour notre plus grand bonheur. Enyiah nous donna des petits-enfants, encore une merveilleuse chose. Je passa énormément de temps avec eux. Mais un jour, le malheur frappa à notre porte. Sarah glissa dans la rue et se brisa la nuque sur un pavé. Soudainement, l'envie de mourir me pris. Mais le soutient de mes filles, de mon dragon et l'amour que je portais à mes petits enfants m'empêchèrent de sombrer dans la folie ou de faire un acte regrettable. Mon deuil dura 3 ans. Les trois années les plus difficiles de ma vie. Je finis par me remettre de cette mort, si on peut appeler ça comme ça, car jamais je n'oublierais Sarah.

Il n'y a pas si longtemps, la rumeur d'une école de Dragonniers se répandit. Mes filles me prièrent d'y aller. Selon elles, il ne fallait pas que je gâche toutes les connaissances que j'avais, il fallait que je les transmette où elles se perdraient bêtement. Mais j'étais devenu ronchon. Je n'avais pas envie d'aller trouver des adolescents puérils dans cette stupide école pour leur apprendre un art qu'ils ne comprendraient pas avant bien des années. Mon refus d'y aller ne dura qu'un an. Alkyon, lui, mourait d'envie d'y aller pour voir d'autres créatures de son espèce, mais il ne voulait pas me laisser seul. Je ne m'étais pas aperçu alors de ce qu'il faisait pour moi, et à quel point j'étais égoïste. Puis Sarah me vint en rêve. Un rêve, dans lequel elle me dit, avec son sourire que j'aimais tant, que je devais aller dans cette école, qu'elle avait besoin de moi, et que cela me ferait le plus grand bien. Elle me parla également des sentiments d'Alkyon, que je refusais de voir ce qu'il pensait de tout ça. Je me réveillais avec la seule envie d'aller dans cette école, Maelthra Magthere. Je trouvais alors les coordonnées de cette école, déposai un dossier pour devenir professeur de magie offensive, et je fus accepté dans de courts délais. Puis vint le jour de la rentrée, et je m'y rendis à dos de dragon, pour le plus grand plaisir de celui-ci.

Famille

Liens

* Derrière le miroir

Un mot sur vous ?

Co*de

Disponibilités

D'où connaissez Vous le forum?

Salutations !

Eh bien pour ma part, je me suis tout aussi éclaté à lire cette fiche et j'apprécie déjà outre mesure le papy-grognon de l'école. Fiche remarquable Himie ! Validée sans aucun soucis bien entendu.

Bon retour parmi nous !

! merci ^^

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