Noktcha Byngsu, "Un Indien dans la Ville" version [Kiah'l]

Noktcha Byngsu, "Un Indien dans la Ville" version fantasy

* Identité

Nom : Byngsu
Prénom : Noktcha
Âge : 17
Sexe : Masculin
Race : Métis entre humain et kappa (voir explications dans la biographie)
État civil : Célibataire, précocement coureur de jupons (et de caleçons à l’occasion !)
Élément : Eau douce – Ascendant Marécages
Année d'étude : Redoublant en première année

* Je suis unique


Physique : Créature verdâtre croisée entre le batracien et le reptile, le kappa n'a pas le physique des plus flatteurs. En voici un exemple, tiré d’un parchemin très ancien :



Noktcha est issu d’un peuple de paysans qui a toujours vécu dans des zones reculées et sauvages, près de marécages. D’après les rumeurs, leurs femmes se seraient maintes fois unies à des kappas, engendrant une descendance de métis aux capacités surnaturelles.
De cette étrange hérédité, Noktcha n’a gardé que les bons côtés. Nulle peau verdâtre, juste d’une blancheur quelque peu maladive et entièrement imberbe. Il a aussi développé une musculature sèche et fine, qui lui permet une grande précision au combat. Sa petite taille, sous-estimée par l’adversaire potentiel, accentue son agilité.
Evoquant certains reptiles, son visage a une forme générale plutôt triangulaire, ses pommettes sont fortement saillantes, son nez est minuscule avec des narines presque inexistantes, sa bouche est menue et ses yeux, d’une taille plus large que la normale, ne cillent pas souvent en donnant l’impression de “dévorer du regard”. La couleur de ses iris est particulièrement envoûtante, pure turquoise lumineuse. Complexé de ne pas posséder de sourcils comme les autres jeunes gens, il s’en dessine lui-même au crayon noir.
Les cheveux de Noktcha, sa seule pilosité (tout comme ses ancêtres kappas), sont raides et pâles avec des reflets verdâtres. Ils semblent toujours humides car il servent en réalité à capter l'humidité ambiante. Il les coiffe en une sorte de carré plongeant très court derrière et plus long devant, au niveau de des oreilles afin de cacher ses branchies.
Ses pieds et ses mains sont légèrement palmés. Noktcha porte souvent des gants pour éviter que cela ne se remarque trop.
Ses dents sont plus pointues que celles des humains, aptes à déchiqueter la viande crue.

À la fois enfantin et mature, fragile et intimidant, le physique de Noktcha trouble n’importe qui. L’impression angélique et démoniaque qui se dégage de lui devrait automatiquement vous mettre mal à l’aise.

Taille : 1m67 approximatifs
Poids : 54 kilos approximatifs

Il ne grandira ni n’épaissira beaucoup, à cause de ses origines.

Caractère : Quelle créature semble plus improbable qu’un descendant de métis entre humain et kappa ? De la légendaire “tête pleine d’eau” du kappa, Noktcha a hérité d’une capacité de réflexion assez peu stimulée, ainsi qu’une mémoire légèrement défaillante. Mais nul ne parvient à définir clairement si ses quelques absences d’esprit font partie au contraire d’un calcul destiné à vous piéger pour mieux obtenir de vous ce qu’il veut. Son âme est aussi trouble que les eaux d’un marécage.

À l’instar de ses ancêtres yokai (= monstres), le garçon se comporte d’une manière plutôt impulsive, souvent proche de la bestialité (ce qui contraste avec son apparence délicate). S’il est bien nourri et hydraté, il déborde d’énergie à ne plus savoir qu’en faire. Alors, il l’emploie à un maximum de choses divertissantes.
On ne le voit jamais en train de méditer mais perpétuellement en action. Les professeurs doivent sans arrêt l’avoir à l’oeil pour éviter des catastrophes. Car évidemment, Noktcha touche à ce qu’il ne devrait pas toucher, oubliant ce qu’il maîtrise et ne maîtrise pas. Il a régulièrement besoin de tester ses limites. Et ne comptez pas à ce qu’il se mette à votre place, c’est trop compliqué.
Dans des cours pratiques, il est très bon élève. Malheureusement, ses mauvaises notes dans les autres cours ont entraîné le redoublement de sa première année… Les professeurs lui ont gentiment expliqué que ce n’était pas si grave, qu’il devait “trouver son rythme”. Noktcha est d’accord, tant qu’il peut se donner à fond dans ce qu’il aime !

Autre particularité digne de ses origines de kappa : l’appétit sexuel. Son corps est en sauvage ébullition. S’il est de bonne humeur, il n’hésite pas à sauter au cou des belles personnes sans se soucier des convenances. Ses manières cavalières sont déjà connues dans l’école, aussi les sages et nobles dames évitent-elles de croiser son chemin. Mais si Noktcha jette son dévolu sur quelqu’un, il ne le lâche pas d’une semelle : regards, attouchements, cadeaux, il est capable de tout. Soyez prévenus ! Oui, “prévenus”, car ce joyeux descendant de yokai est attiré par la beauté, tous sexes confondus. Pourquoi se priver de s’amuser deux fois plus ? Telle est sa logique.

La séduction est pour lui un jeu, aussi beaucoup de gens le repoussent sans que son coeur en soit brisé. Vous pouvez donc vous défendre sans remords ! Avec de la maturité, ce petit chenapan finira bien par éprouver de sérieux sentiments et à prendre du recul. Surtout s’il rencontrait quelqu’un apte à l’aider dans ses petites défaillances de mémoire…

Autant Noktcha est capable d’oublier des éléments très importants, autant il peut se souvenir de détails infimes. Cette tendance peut rendre service aux gens dont le cerveau fait une “sélection normale”. N’hésitez pas à lui poser des questions sur une situation vécue, on ne sait jamais ! Et il suffira d’un petit baiser en remerciement…

Pour résumer, il est actif, brusque, rieur, farceur, curieux de tout, généreux et voleur car il n'a pas vraiment la notion de propriété (malgré les efforts de son père adoptif pour la lui inculquer), beaucoup grivois, maladroit, pénible, insouciant, combattant, fier, peu rancunier, un peu simplet sur les bords mais capable d'en jouer pour arriver à ses fins.

Ce n'est encore qu'un jeune, il évoluera.

Habitudes et préférences : Quand il dort, il garde les yeux ouverts et finit toujours nu le lendemain matin, ôtant machinalement ses vêtements pendant son sommeil.
Il ne porte que les vêtements choisis par son père adoptif. Lui, il s'en moque un peu. S'il pouvait se promener nu ou enduit de boue, il le ferait !
Par périodes irrégulières, il devient soit complètement carnivore et n’engloutit que de la viande crue ou soit complètement végétarien et n’engloutit que des concombres. Lorsqu’il est dans l’une des deux périodes, il est peu recommandé de lui servir l’aliment opposé sous peine de le voir vomir aussitôt. Ce sont là les curieuses influences des mythes…
À noter : dans la période carnivore, Noktcha peut être assez sensible au sang frais alors évitez de vous couper près de lui… surtout si vous êtes jeune. Evidemment, il ne vous dévorera pas mais sera juste très pénible à vous suivre partout plus que d’habitude pour vous lécher la plaie…

Image(s) de votre personnage :
1) Voilà Noktcha quand il décide de s'intéresser à vous ou d'obtenir quelque chose de vous. En mode "serpent charmeur". N'essayez pas de soutenir son regard, il ne cille pas et a une patience illimitée à ce petit jeu-là !


2) Voilà Noktcha quand il dort. Si, si, il garde les yeux ouverts. C'est tellement plus intéressant comme ça...



3) Voilà Noktcha en tenue de soirée. Magnifique habit de soie et de fines pierreries, taillé sur mesure par un grand couturier. Cadeau de son père adoptif pour son entrée à Maelthra.



Signes particuliers : présence, derrière les oreilles, de ce qui ressemble à de fines entailles bien rangées… mais ne paniquez pas, il ne s’agit que de branchies !

* Histoire

Biographie :

“La première fois que j’en ai vu un, j’ai tout de suite été fasciné. Le kappa. Sur ce parchemin jaunâtre trouvé dans un livre sur le folklore d’un lointain archipel, la simple estampe de lui a répandu sur mon coeur son ombre gluante. Déjà, avant que j’en rencontre un pour de vrai. Avant que je ne fasse partie de cette expédition d’aventuriers et de scientifiques lancée sur les mers à l’assaut d’un mystère exotique. Une expédition gonflée d’un orgueil typique de notre race “blanche”. Une expédition invoquant les prétextes les plus sournois pour tout simplement faire et refaire ce que qui semble encré dans nos veines depuis l’éternité : coloniser.

J’étais un de ces jeunes fous prétentieux qui se glorifiaient de faits d’armes et de quelques pratiques magiques, je croyais arriver comme un bienfaiteur au devant de créatures démoniaques primaires. Voilà pourquoi, comme les autres, je n’ai pas compris pourquoi nous avons reçu un accueil si hostile, pourquoi le campement a pris feu, pourquoi des compagnons ont été blessés, pourquoi… Je croyais, oui, je croyais qu’il fallait vous apprivoiser tous, vous apporter la lumière de notre savoir, le réconfort de notre puissance.

La première fois que j’en ai tué un, j’ai longuement regardé son sang sombre inonder la berge du marécage. Il mourait en silence, seules ses grands yeux fixés sur moi hurlaient à quel point mon acte était abject.
Moi, le professeur Byngsu, mage passionné de créatures démoniaque, moi le colon improvisé, moi le meurtrier d’indigènes, je n’aurais jamais assez éprouvé de remord pour tout ce qui s’est passé là-bas.

La profonde déception de ne pas découvrir de vrais kappas “pure race” a-t-elle guidé ma main excessivement impitoyable contre ce peuple métissé avec des humains qui n’avait nullement besoin de ma science pour subsister..? Sans doute. J’étais si jeune, si confiant, si ambitieux… et je me retrouve à présent si vieux, si triste et si las !

Mais j’aurais définitivement sombré dans la folie si je ne t’avais pas rencontré. Toi, la preuve de mon crime. Toi, le fruit de mes remords. Toi, toute ma vie, c’est pour toi que j’écris ces brèves mémoires. Si je me décide, c’est parce-que tes grands yeux écarquillés me dévisagent chaque jour en cherchant des réponses. Comment puis-je y échapper..?

Armé de seringues et de fioles, je parcourais tes terres natales, je me jetais sur les tiens pour leur imposer des tests, des médicaments, des sorts… Je me transformais en odieux enfant qui joue à la poupée avec des êtres vivants. J’allais basculer, oui, j’allais devenir totalement fou… De toute façon, j’avais décidé de mourir là, sur ces terres fantasmées qui ne m’aimaient pas.

C’est alors que je t’ai rencontré. Tu n’étais –tu ne seras toujours, à mes yeux- qu’un enfant. Pataugeant dans une flaque de boue, tu riais aux éclats en me dévisageant. Oui, tu riais… alors que tous ceux de ton peuple fuyaient les “envahisseurs”, toi tu riais, enfant abandonné par des parents que j’ai effrayés ou bien anéantis, va savoir… Face à ton rire innocent, toi créature fébrile bâtarde et solitaire, j’ai éprouvé la honte d’un bloc. Je me suis mis à sangloter. J’ai lâché mes aiguilles, et mes rêves fous avec. En voyant pleurer ainsi ce grand homme, enfant, tu as tendu tes petits bras graciles. Comment aurais-je pu y résister ? Je me suis penché vers toi. Tu m’as agrippé. Je suis devenu ton esclave.

Quand j’ai ramené au campement ce petit être couvert de boue, mes compagnons n’ont rien dit. Peut-être, eux aussi, avaient abandonné… Voilà plusieurs mois que nous occupions ce coin de l’immense archipel. Il était temps de rentrer chez nous, en Occident…

Tu ne me lâchais pas du regard. Alors je t’ai emmené.

Malgré les mauvaises expériences de chacun au contact des tiens, tout l’équipage t’a adopté. Tu es resté la mascotte du navire pendant tout le voyage de retour. Je me souviens que déjà, tu rampais jusqu’aux cuisines pour voler le moindre aliment qui avait le malheur de traîner à ta portée… Je me souviens de mes crises d’angoisse quand tu disparaissais de ma vue, et que les matelots te découvraient recroquevillé dans des cordages, dormant comme un bienheureux… Je me souviens du premier mot que tu as prononcé parfaitement, sans aucun accent de ton dialecte natal : “poisson”.

Mon amour pour toi n’a cessé de grandir. En t’amenant dans cette grande demeure où je vivais seul depuis le décès de mes parents, j’ai cru renaître. Tu as emplis chaque pièce de ton énergie inépuisable. Je n’ai jamais connu un moment d’ennui depuis que tu es entré dans ma vie.

Même lorsque tu faisais une bêtise, je n’osais pas te gronder trop sévèrement, ni te punir : car chaque fois que tes beaux yeux purs se levaient sur moi, je me sentais coupable. Forcément, tu as su en profiter ! Tu voyais mes faiblesses et tu les exploitais, petite crapule adorée.

Cette dizaine d’années me semble avoir filé bien trop vite. Je me souviens encore si distinctement du jour où je t’ai officiellement nommé et reconnu comme mon fils. Beaucoup d’inconnus se sont mêlés à la cérémonie, et les commentaires outrés allaient bon train. On me disait impuissant, puisque j’avais dû aller à l’autre bout du monde pour adopter un enfant… On te disait possédé par le démon à cause de tes traits et de tes réactions brusques… Mais qu’importe ! Nous nous étions choisis. Je n’étais certes pas ton père, comment pourrais-je le mériter ? Mais toi, tu as été mon fils.

“Noktcha”, répétais-tu sans cesse. J’ignorais la signification de ce mot. Peut-être était-ce ton nom, venu de là-bas… Je ne le saurais jamais, car tu as oublié ton langage natal.

Je voulais faire de toi un érudit, mais j’avais tort. Les rares moments où tu ne gesticulais pas sans arrêt pour aller jouer dans un étang ou te battre avec des petits voisins, les rares moments où je pouvais te lire quelques uns de mes livres, je constatais bien que tu ne te remémorais pas aisément les choses. Si je te demandais de me répéter le nom des protagonistes d’une histoire, tu les confondais toujours.

C’est là que j’ai compris que si tu avais pu m’aimer, c’est que tu oubliais facilement. Autrement, comment aurais-tu pu suivre un assassin comme moi..?

Pour ton bien, je me suis davantage documenté sur les kappas. Les récits en font des êtres extrêmement controversés : tantôt carnivors amateurs de chair fraîche, ils sont à l’affût des enfants et des jeunes femmes qu’ils attirent dans les marécages pour leur dévorer les entrailles ; tantôt uniquement végétariens, ils sont friands d’aliments très aqueux comme les concombres. On les dit d’aspect repoussant mais évoquant tout de même un enfant. On les dit violeurs, voleurs, farceurs, tueurs, polis, stupides…
Les kappas traditionnels seraient pourvus d’un crâne à demi-ouvert dans lequel ils conserveraient de l’eau afin de ne pas se déshydrater en s’aventurant sur la terre ferme. Et il est conseillé aux humains de saluer le kappa bien bas, de sorte à ce qu’il fasse de même en raison de son caractère poli et curieux de tout. Ainsi, l’eau de son crâne se répandra par terre et il perdrait la force de vous dévorer…

Toi, petit métis qui a dévoré mon coeur, qu’a-tu à répondre pour ta défense ?

Mon cher enfant… C’est moi qui ai l’impression d’avoir vidé ma coupe, à présent. Il est temps pour moi de me retirer. Si le remord m’a rongé toutes ces années, c’est finalement la maladie qui a raison de moi. À chaque minute, mes forces m’abandonnent. Le lit où je suis étendu est glacé, je le pressens devenir mon linceul. Alors, je mes maigres doigts de vieillard, je gratte l’extrémité de la plume d’oie sur le parchemin. Afin que tu saches. Afin que tes problèmes de mémoire ne t’empêchent pas de connaître la vérité. Afin que tu ne me pardonnes jamais.

Je te lègue tout, mon fils. L’un de mes amis veillera sur tes biens jusqu’à ta majorité. En attendant, je t’envoie dans une école réputée qui ne te sera que bénéfique. Là-bas, parmi tant de créatures diverses, tu ne pourras pas te sentir seul ou rejeté. D’excellents professeurs, aux pouvoirs bien plus denses que les miens, t’aideront à trouver ta voie et peut-être à résoudre le problème de ta mémoire défaillante…

Au moins, souviens-toi de qui tu es. Et si possible, souviens-toi aussi que je t’a…”

Le teint de l'homme pâlit brusquement. Des gouttes de sueur perlèrent à ses tempes tandis que sa main lâcha la plume pour venir se plaquer sur son coeur crispé. Il ne parvint pas à crier, juste à lâcher des gémissements étouffés. La douleur lui déchirait la poitrine.

Quelques instants après, il glissa de son siège, inerte, et s’afaissa lourdement au sol. La vaste demeure resta silencieuse.


Quand le Comte Lyradd, ami de longue date de Lorance, rendit visite à la demeure Byngsu, une odeur nauséabonde le saisit à la gorge. S’aventurant dans la chambre du maître des lieux, il fut profondément terrifié et touché par la scène : recroquevillé contre le cadavre en putréfaction de son père adoptif, le jeune Noktcha s’amusait à faire des courses d’asticots ou encore à gober des mouches. Il riait aux éclats. Lyradd se félicita d’être arrivé en premier sur les lieux, car lui seul pouvait comprendre que l’absence de larmes de l’adolescent ne signifiait en aucun cas une absence d’émotions. Ayant suivi Lorance dans ses recherches, il savait que les kappas, créatures aquatiques, ne pleuraient pas.

“Je vais m’occuper de vous, Noktcha” promit-il.

Le garçon saisit cette main qui se tendait, et Lyradd constata avec satisfaction que Noktcha saurait toujours survivre, sans s’attarder inutilement sur le passé.

La rentrée à l’école Maelthra eut lieu, et Noktcha fut comblé de se retrouver au milieu d’une telle animation de créatures plus déconcertantes les unes que les autres. Il s’adapta à certains cours et résista à d’autres, courut après les filles et les garçons, cassa quelques objets précieux, vola des friandises, offrit des poignées de cristaux à ses amis, gagna des compétitions de combat au corps à corps… puis oublia. Pas tout, bien sûr, et jamais définitivement. Mais certains cours ennuyeux s’effacèrent de son esprit, ce qui poussa les professeurs à opter pour le redoublement.


Famille : N’a pas de nouvelles de sa famille biologique. Son père adoptif Lorance Byngsu, issu de la haute noblesse, est décédé depuis un an en lui léguant une vaste et riche demeure.
Liens : À créer selon le volontariat ^_^

* Suppléments

Les pouvoirs de son élément : Noktcha est très doué à la nage, il est capable de la rapidité d’un poisson et possède des minies branchies derrière les oreilles (héritage familial oblige) qui lui permettent de s’aventurer en profondeurs pendant longtemps. Mais il est bien moins à l’aise en eau salée qu’en eau douce, ne parvenant pas à rester plus d'une heure sans pause dans le premier cas. Son corps lui facilite le combat au corps à corps, où il excelle à l’école. Plutôt doué en métamorphose, il doit cependant s’hydrater à l’extrême lorsqu’il prend une autre apparence. Sinon, il s’affaiblit vite.
Parfaitement à l'aise en milieux putrides, Noktcha n'est effrayé ni par les cadavres ni par les maladies. Au contraire, il semble y attacher un grand intérêt. Cela s'explique par une immunité toujours vive, qui provient de son héritage génétique mais aussi de son premier vécu en zone marécageuse.
Ses origines de kappa lui permettent une étroite complicité avec les dragons aquatiques et autres prédateurs du milieu marin. Ils éviteront d'en faire leur repas.
L’élément avec lequel il est à égalité est le Feu, et il craint beaucoup la Foudre.

Options choisies : Nécromancie et Métamorphose
Matières choisies : Cours de Combat et d’Animologie
Objets en sa possession : N’a pas une notion de la propriété très développée, donc…
Animaux de compagnie : Aucun qui puisse durer longtemps, il finit toujours par les croquer tout cru.
Autre : /

* Présentation du Dragon
Nom : Aigue (prononcer “ègue”, hein !)
Age : Encore en sommeil car Noktcha a totalement oublié l’oeuf a première année, trop occupé qu’il était à se divertir dans ces nouveaux lieux. L’oeuf a donc été soigneusement mis de côté en attente que son maître recommence depuis le début [en espérant que ce soit possible, sinon je changerai sans problème ! ^_^”].
Sexe : Féminin
Physique : Pour l’heure, à la différence des autres, l’oeuf de ce bébé dragon est plutôt mou, grisâtre et semble perpétuellement suinter d’un liquide visqueux et malodorant destiné à éloigner les fâcheux. Bien sûr, seul Noktcha apprécie ces aspects-là !
Adulte, Aigue devient une robuste dragonne aux pattes palmées lui permettant une grande aisance dans les profondeurs marines. Son corps est couvert d’écailles d’une brillante couleur mauve-argentée. Sa gueule, souvent béante pour capter l’humidité ambiante, laisse entrevoir un beau violet fluo que reflètent ses dents d’une matière fortement miroitante. Elle possède deux épaisses cornes luisantes, prenant racines juste au dessus de ses yeux fins translucides. Elle a deux voies respiratoires : de larges narines et des branchies difficiles à repérer sur ses flancs.
Ses larges ailes, adaptées à sa condition, sont si lisses qu’elles ne sont pas alourdies par l’humidité en vol. Et sous l’eau, elle se contente de les rétracter afin de les rendre aussi pratiques que des nageoires. Cependant, Aigue n’est pas faite pour évoluer sur la terre ferme, sa démarche ne serait qu’excessivement lente et pénible. Sa longue queue, reliée à ses ailes comme s’il s’agissait presque d’un seul voile, lui sert autant à garder l’équilibre en vol qu’à nager ou bien à assommer ses proies. Dans l’air ou dans l’eau, Aigue effectue des mouvements croisés entre ceux d’une raie manta (pour la grâce) et d’un dauphin (pour la rapidité).
Caractère : À cause de la forte odeur (évoquant quelque peu des marécages putrides) qu’elle dégage depuis toujours, Aigue est habituée à voir les autres créatures l’éviter à tout prix. C’est dans sa situation que l’expression “ne pas pouvoir se sentir” prend tout son sens… XP Mais cette odeur, si désagréable dans l’air, devient dans l’eau l’un des parfums les plus érotiques qui soient, destiné à appâter toutes les créatures marines possibles, dont Aigue se repaît goûlument. Sorte de sirène sous forme dragon donc, Aigue est très troublante. Les seules créatures marines pour lesquelles elle ne consiste pas un danger prédateur sont les dragons comme elle. Cependant, les mâles attirés ont intérêt à se tenir à l’écart des bancs de poissons, ou bien ils recevraient un coup de dents ou de griffes par mégarde tant notre Aigue est vorace ! Ne supportant pas de se promener sur la terre, elle dédaigne les créatures terrestres (qui le lui rendent bien). Elle est assez fière de ce qu’elle est, car elle en a un peu souffert. En grandissant, elle a été assez instable car elle a eu besoin d’accepter ses propres aspects repoussants et de connaître mieux l’élément qui lui convient (surtout que son maître s’est parfois mal comporté avec elle). Passé cette longue phase de complexes dont elle a conservé un caractère parfois facilement grognon et boudeur, Aigue est devenue un dragon femelle épanoui ! Mais attention, le seul mâle qu’elle autoriserait à la dominer devrait certainement… puer davantage qu’elle !
Signes Particuliers : Dégage une odeur nauséabonde, un peu comme des algues pourries.
Images :


* Derrière le miroir
Un mot sur vous ? Hermaphro… /BAF/ hum ! Euh… Ben…
Jeune fille qui rêverait de voir ce que ça fait d’être dans la peau d’un mec parfois, rien que pour pouvoir manger comme deux sans prendre des kilos comme quatre !
Etudiante en cinéma.
Raisonnablement droguée au RPG (ça se peut, ça ? O_o).
Fan du chocolat au piment.
Et euh… la censure oblige à nous arrêter là ^_^”
Co*de : Athear19098
Disponibilités : Régulière, autant que ma vie sociale et les aléas d’internet me le permettent.
D'où connaissez Vous le forum? En cherchant parmi un top site. Je suis venue, j’ai vu… j’ai été convaincue ! XP

Voyant que personne ne t'as encore accueilli, je te souhaite la bienvenue !

Ta fiche est agréable à lire et est plutôt originale, ton personnage m'a bien fait rire en tout cas ! Personnellement mis à part deux ou trois fautes d'orthographe je ne pense pas qu'il y ait grand chose à corriger. Bon courage pour la suite, j'ai hâte de te voir à l'œuvre et éventuellement te rencontrer en rp, même si ça risque d'être assez particulier !

Oh, merci beaucoup ! *^_^*

En parcourant les différents RP, j'avais également trouvé ton perso très chouette ! Le confronter au mien pourrait, en effet, être intéressant ! ^o^

Salutations !

Ta fiche est en ordre, mais un seul détail cloche : la taille de ton avatar qui doit être au format 200*300 pixels. Sinon, en ce qui concerne la maison, j'opte pour les Kiah'l.

D'accord ! Je vais rectifier ça tout de suite ! ^_^

EDIT : voilà, j'espère que ça va...
PS : Donc c'est bon pour l'oeuf..?

Il manque 20 pixels de largeur, mais je pense que si je te demande de le refaire, cela va finir par déformer ton image. Donc ça ira pour cette fois. Quant à l'oeuf, c'est tout à fait possible. Et c'est même la chose la plus cohérente : si un élève n'est pas capable de s'occuper de son oeuf correctement, il le lui est retiré pour un temps.

Tout est donc en ordre, je te valide !

Bon jeu !