Ysandre Neö
Maître des Cerises
Messages : 37
Date d'inscription : 13/02/2010
Race : Nymphe du Cerisier
Fonction : Failariël - Espionne de l'Alliance
Age du Personnage : Inconnu
![Ysandre Neö [Failariëls - Espionne de l'Alliance] Empty](https://2img.net/i/empty.gif) |  Sujet: Ysandre Neö [Failariëls - Espionne de l'Alliance] ![Ysandre Neö [Failariëls - Espionne de l'Alliance] I_icon_minitime](https://2img.net/s/t/13/06/08/i_icon_minitime.gif) Mar 16 Fév - 2:53 | |
| * Identité
Nom : Neö
Prénom : Ysandre
Âge : Inconnu
Sexe : Hermaphrodite (dans le récit, nous en parlerons au féminin puisqu’il s’agit d’une Nymphe)
Race : Nymphe Sylvestre
État civil : Ex-fiancée, mais à présent célibataire
Élément : Cerisier
Poste souhaité : Officiellement Failariëls Tîweles ; Officieusement Espionne à la solde de l’Alliance
Ancienneté : Nouvelle venue
* Je suis unique
Caractère : Suivant les missions qui lui sont imposées, Ysandre utilise plusieurs personnalités, autant masculines que féminines. Mais au fond d’elle gronde une terrible colère et une soif de vengeance que son aura apaisante sait dissimuler. Rêvant de liberté mais incapable de vivre seule, Ysandre a toujours besoin de s’accrocher à une cause, une entité, une personne. Elle aurait une tendance très forte au sacrifice si elle n’avait pas promis à son Arbre de vivre. Alors elle choisit de dévouer son temps et son énergie à ce qui le nécessite. Quand elle accorde ce dévouement, elle est d’une grande fidélité et il faudrait la blesser profondément pour la pousser à trahir son serment. C’est ainsi qu’elle travaille pour l’Alliance, sans critiquer ou juger leurs pratiques. On peut comparer son sens du devoir à une solide racine, très difficile à arracher ou à briser.
Ayant souffert de la naïveté qui accompagne tout sentiment, Ysandre préfère désormais s’en tenir à ce sens du devoir plutôt qu’aux émotions. Plus mature qu’avant, elle ne pardonne pas ceux qui l’ont offensée et refuse de s’attacher aux gens. Elle voue une haine envers les humains qu’elle parvient à dissimuler pour mieux travailler. Elle veut avant tout devenir plus forte.
Physique : D’une androgynie parfaite, son allure est des plus troublantes. Son visage semble un doux ovale lunaire. Ses yeux gris clairs sont pourvus de longs cils très féminins, avec de courts sourcils noirs qui lui donnent naturellement une expression un peu grave. Elle se coupe ses cheveux elle-même, n’importe comment ; des mèches raides et grises sombres semblent toujours s’agiter en tous sens dans la moindre brise grâce à leur extrême légèreté. Sa bouche petite et mince prend souvent un air pincé.
De corps, Ysandre fait plus masculin : difficile de dinstinguer la forme de ses seins derrière les amples tuniques qu’elle enfile les unes par dessus les autres pour être à l’aise. Sa taille approche le mètre quatre vingt cinq. Ses bras et ses jambes sont pourvus de muscles secs et anguleux. Ses mains sont grandes et maigres. Ses ongles sont naturellement sombres. D’allure générale, c’est quelqu’un d’efflanqué. Et évidemment, elle possède les deux sexes. C’est une fleur, après tout !
Peu coquette et considérant que sa mission n’a pas besoin d’autre chose, Ysandre s’habille avec de vieux tissus récupérés par-ci par-là, des pantalons troués, un manteaux et des gants en cuir usé, et de grosses bottes noires. Mais son androgynie lui permet la polyvalence des identités : si une mission exigeait qu’elle porte une robe de bal, Ysandre pourrait paraître aussi somptueuse qu’une jeune noble.
Habitudes et préférences : Ysandre ne mange que de la terre et ne boit que de l’eau. Elle aime recueillir l’eau de pluie ou de source dans une jarre et la siroter comme le plus raffiné des vins…
Image(s) de votre personnage : À l’avenir, je la dessinerai.
Signes particuliers : Plusieurs cicatrices (dans son dos d’anciennes traces de coups de fouet et le symbole d’une fleur de cerisier marqué au fer rouge sur son omoplate).
* Histoire
Biographie :
YSANDRE
Les enfants ignorent que les contes sont cruels. Lorsqu’ils l’apprennent, il est trop tard.
Les contes sont faits pour être racontés. Alors… cela signifie que l’ont peut raconter la cruauté ?
Il était une fois, parmi les Nymphes des forêts, une race que l’on appelait “Âmes du Cerisier” car elles avaient la particularité, entre autres, de n’être liées qu’à ce mythique arbre-là. Très individualistes, ces Nymphes ne se mêlaient pas aux autres, ni même entre elles. Seuls des cerisiers respectablement âgés développaient assez de magie pour donner ainsi chair à une partie de leur âme. C’était un acte de pure pulsion vitale qui prenait une dimension artistique et mystique : la Nymphe du Cerisier était l’incarnation humaine de la fleur, à la fois mâle et femelle, à la fois force et fragilité, à la fois jour et nuit…
Chacune veillait farouchement sur l’Arbre qui l’avait engendrée. Lorsque le Cerisier, suffisamment protégé, avait accumulé assez d’années et de magie il aspirait l’énergie vitale de sa Nymphe, reprenant naturellement ce qui avait été donné, et pouvait ainsi engendrer une nouvelle Nymphe encore plus puissante. Il s’agissait là d’un étrange équilibre, qui constituait une chose si rare qu’elle suscita évidemment des fascinations chez les autres peuples.
Si beaucoup de races s’intéressaient aux Nymphes du Cerisier, ce fut la cupidité des humains qui l’emporta. Tous les profils se mirent à traquer ces êtres : guerriers, mages, marchands…
YSANDRE
Parfois, si l’on se tait, ce n’est pas par peur. C’est simplement que l’horreur ne peut se décrire avec des mots. Si le vocabulaire sonne faux, n’est-ce pas encore plus triste ? Alors, moi, je me tais.
Capturer une Nymphe du Cerisier relevait d’un exploit extraordinaire : il fallait déjà la trouver en parcourant des immenses forêts peuplées de monstres, il fallait être capable de repérer l’âge de l’arbre pour en déduire l’état de sa magie et de sa Nymphe. Selon ces deux derniers facteurs, l’attaque serait différente : si l’arbre est trop jeune, il ne possède pas encore de Nymphe ; s’il est vieux, il peut avoir récemment aspiré l’énergie de sa Nymphe pour en créer une nouvelle. Dans beaucoup de cas, le Traqueur perd son temps. Voilà pourquoi ce “métier” s’est affiné au fil des années, et pourquoi celui qui a déjà capturé une Nymphe obtient l’honorable titre de “Chasseur de Fleurs”. Nombreux sont ceux qui y ont perdu la vie. Mais pour ceux qui réussissent, la gloire et la fortune leur appartient.
***
Un bruit déchirant, comme un orage qui éclaterait au creux de son tympan. Recroquevillée dans l’écorce chaude de son Arbre, la jeune Nymphe brutalement réveillée se mit à trembler. En elle résonnaient les cris angoissés des Nympes qui l’avaient précédée. Alors même ce petit bouton de fleur fait de chair et d’os pouvait comprendre l’ampleur de la catastrophe qui s’accomplissait : “ils” s’en prenaient à l’Arbre.
Stupeur d’abord, puis colère. L’Arbre, on n’y touche pas. La jeune Nymphe se glissa par une ouverture et bondit, ses ongles brandis comme des griffes, un hurlement sauvage jaillissant de son ventre maigre, les yeux écarquillés sur l’horreur : un groupe d’humains se trouvaient là, s’attaquant au vieux cerisier avec des haches et des épées. Grâce à la mémoire des Nymphes précédentes, la jeune savait que ces ennemis-là n’étaient pas des “Chasseurs de Fleurs”. Ces derniers trouvaient des astuces pour capturer une Nymphe sans abîmer le Cerisier. Tandis que ces gens-là détruisaient tout, sans penser à la survie de l’espèce.
L’enfant Nymphe se jeta sur eux, manipulant des branches pour les lacérer et les étouffant dans une tempête de pétales. Mais ils étaient nombreux. Le temps qu’elle affronte une partie, l’autre s’employait à détruire l’Arbre. Quand la Nymphe eût étranglé le dernier d’entre eux, elle entendit un terrible craquement derrière elle. Elle se retourna pour voir le magnifique Cerisier en fleurs s’afaisser dans un terrible et somptueux froissement. Sa sève magique fuyait par ses blessures. La Nymphe poussa un hurlement qui glaça la forêt entière.
YSANDRE
Comment ont-ils pu..? Comment ont-ils osé..? Et moi, comment pouvais-je vivre après cela..? Je n’avais pas de raison de vivre. Je n’avais plus rien. Mais l’Arbre Centenaire murmura une seule chose à sa jeune Nymphe : “Vis”. Alors elle détroussa ses bourreaux morts, enfilant leurs vêtements, s’emparant de leurs armes. Après avoir erré à travers la forêt, elle parvint à la civilisation.
Cette Nymphe déracinée apprit très vite à s’adapter pour survivre : elle se servit de son aisance avec les animaux pour trouver un emploi de palefrenier dans une auberge, se faisant passer pour une orphelin du nom de “Sylvain”. Mais malgré ses guenilles et la poussière dont elle s’enduisait le visage, sa beauté et ses dons ne passaient pas inaperçus. Surtout aux yeux d’un connaisseur. Et malheureusement pour elle, un “Chasseur de Fleurs” s’arrêta un jour à l’auberge où elle travaillait. Dès qu’il la vit, il devina son origine. C’était un redoutable “Chasseur de Fleurs” qui avait déjà un important nombre de captures de Nymphes à son actif. Il agit donc avec prudence et proposa aux patrons de l’auberge une jolie petite somme en échange de Sylvain, prétextant qu’il avait besoin d’un palefrenier. Les aubergistes acceptèrent, ravis de tirer autant de profit d’un quelconque orphelin, même si le travail de celui-ci leur convenait.
La mémoire que le Cerisier lui avait laissé permit à la Nymphe de savoir immédiatement à qui elle avait affaire. Feignant la docilité, elle vola ensuite un cheval de l’écurie de l’auberge et s’enfuit.
Bien vite, elle fut recherchée par des autorités. En parallèle, le “Chasseur de Fleurs” la traquait sans relâche, tout en mettant des bâtons dans les roues à tout autre personne qui tenterait de la pourchasser. Cette Nymphe lui appartenait, à lui seul.
La Nymphe traversa diverses contrées, s’essaya à plusieurs identités, plusieurs métiers, mais devait à chaque fois s’enfuir de nouveau quand elle pressentait l’arrivée de ses poursuivants.
Une fois, elle servit de garde-malade à un riche vieillard qu’elle soigna à l’aide de plantes médicinales. Il ne savait rien d’elle mais tomba sincèrement amoureux de cette femme simple et silencieuse, aux yeux si graves, si sages... Quand il lui offrit de rester à ses côtés, la Nymphe fut vaincue par la nostalgie de son Arbre Centenaire et accepta. Les rumeurs se répandirent vite. Le jour des noces, une foule se présenta. À peine la Nymphe eût-elle monté les marches de l’église que des hommes en armure se précipitèrent pour la capturer. Dans le tumulte et la panique générale, le coeur du richissime vieillard lâcha. Désemparée par cette nouvelle perte, la Nymphe ne résista pas aux autorités. Dans cette contrée, on évoqua longtemps la beauté de cette femme en robe de mariée déchirée, enchaînée au milieu de guerriers qui l’emmenèrent sans que plus personne ne la revit jamais.
YSANDRE
Aimer, c’est perdre. Plus jamais je ne perdrai. Plus jamais je n’aimerai…
***
Elle ne savait plus depuis combien de temps elle croupissait dans ce cachot. Elle avait l’impression d’être piégée par l’éternité. Plus qu’une seule chose l’animait : la douleur. Douleur dans l’âme, douleur à ses chevilles bloquées par les chaînes, douleur à son dos lacéré par les coups de fouet qui lui avaient été administrés sur la place publique, devant une foule d’humains qui riaient. Au début, elle avait retenu les pleurs et compté les coups. Et puis… La honte et la colère l’avait submergée lorsqu’on avait exhibé son corps nu sanguinolant. Ces humains riaient et la montraient du doigt comme un monstre.
YSANDRE
Qui sont les vrais monstres..?
Dans la foule, un seul homme ne riait pas. Elle l’avait aperçu et reconnu : son “Chasseur de Fleurs” ! Le regard qu’il lui avait lancé ce jour-là signifiait “Je t’avais prévenue, tu devais m’appartenir.”
Dans son cachot, elle se demanda s’il allait venir la chercher. Elle avait eu si mal qu’elle se sentait prête à suivre n’importe qui la sortirait de là.
Un jour, une créature repoussante fut amenée dans le cachot voisin. Il s’agissait d’un démon mineur qui avait attaqué des humains.
“Tu les hais, toi aussi, n’est-ce pas..?” avait-il dit en plantant son regard fou dans le sien, “Tu voudrais te venger ? Tu voudrais que le monde change ? Tu voudrais obtenir le pouvoir et décider de ton destin ?"
Les yeux de la Nymphe brillaient dans la pénombre.
“Comment..?" souffla-t-elle.
Le démon eut un sourire narquois et lui conseilla de faire amende honorable afin de sortir rapidement de prison, puis de se rendre à une certaine “Grotte des Damnés” située dans les environs. Il lui promit que là-bas, elle trouverait l’accueil qu’elle méritait.
Dès lors, la Nymphe mit son orgueil de côté et supplia ses gardiens. Ils restèrent sourds jusqu’à ce qu’elle mentionne le “Chasseur de Fleurs”. Elle prétendit avoir hâte de retrouver son véritable maître. Or, justement, le “Chasseur de Fleurs” réclamait sa libération depuis le début. On ne la lui accordait pas tant que la Nymphe se montrait rebelle, mais puisqu’elle semblait repentante…
En pleine nuit, on vint la chercher. Quand elle passa devant le cachot du démon, il lui murmura “La Grotte des Damnés, n’oublie pas” sur un ton si fraternel qu’elle en eût presque les larmes aux yeux. Mais elle devait s’endurcir, ou sinon elle n’atteindrait jamais ce fameux endroit…
Les chaînes pesaient toujours à ses poignets quand elle fut poussée vers ce grand homme au sourire cruel, cet humain qui l’accueillit avec une répugnante tendresse.
“Ma Nymphe… Cette fois, je ne te laisserais plus t’échapper…”
Il l’attacha devant lui sur sa monture et prit la route. À l’aube, alors que la Nymphe commençait à somnoler, il lui fit mettre pied à terre dans un village et l’amena chez un forgeron.
La malheureuse créature ne devina pas ce qui allait lui arriver. Fermement tenue par le Chasseur, elle se vit appliquer un fer atrocement brûlant sur l’omoplate. Elle hurla, gémit, pleura, trembla de tout son être, mais on le la relâcha qu’une fois que son maître fut certain que la marque resterait indélébile. Elle s’évanouit sous le choc.
Elle se réveilla dans le lit confortable d’une auberge. Quand elle se leva pour aller se regarder dans le miroir, elle grimaça face à l’horrible dessin imprimé sur sa peau : une fleur de cerisier. Qui prouverait à jamais sa capture. Désormais, elle ne serait plus libre, où qu’elle aille. Cette marque-là ne s’effacerait ni de son corps ni de son coeur.
***
Pendant les mois qui suivirent, elle feignit d’accepter son statut d’esclave. Docile, silencieuse, obéissante, gentille, la Nymphe fit l’honneur de son maître. Il refusa obstinément de la vendre, trop fier de sa longue quête. Elle devint son objet de collection favori. Il ne traquait les autres Nymphes que pour subsister, mais tenait à la garder, elle, sa rareté.
Un jour que le Chasseur avait imprudemment relâché son attention et s’était contenté de la laisser attachée sur son cheval tandis qu’il allait faire des repérages dans un bois, elle concentra son pouvoir de sorte à faire déguerpir la monture. Se répétant “La Grotte des Damnés” dans son esprit, elle entendit la forêt lui murmurer le chemin.
Des jours plus tard, la Nymphe arriva sur les lieux. Epuisée, elle se laissa tomber du cheval et somnola à même le sol. La Grotte était en fait un seul énorme trou dans une roche noire. Le vent, en y passant, émettait un chant plaintif qui ressemblait en effet à celui d’âmes désespérées. La Nymphe pensa que le démon s’était moqué d’elle. Après tout, pourquoi l’aurait-il aidée..? Nul ne s’aidait, dans ce monde. On abusait des faibles, voilà tout.
YSANDRE
À ce moment-là, malgré la douleur, la déception et la haine, j’ai pensé à ce que m’avait dit mon Arbre : vivre. J’ai fait ce souhait-là, avec une forte volonté.
Soudain, une ombre s’étendit sur elle. La Nymphe ouvrit les yeux et aperçut trois silhouettes ténébreuses, encapuchonnées, se pencher sur elle sans qu’elle puisse distinguer leurs visages. L’une d’elles tendit une main griffue, et les chaînes disparurent. Une autre tendit un index squelettique et la Nymphe se leva automatiquement, comme ragaillardie.
“Veux-tu devenir plus forte ? Veux-tu contribuer à faire changer le monde ?"
La Nymphe acquiesça, décidée à s’en remettre entièrement à ces créatures à l’aura aussi torturée que la sienne.
***
YSANDRE
Ils m’ont donné une seconde naissance. Ils m’ont accueillie dans leurs rangs, moi la déracinée. Ils m’ont promis le pouvoir, à moi l’esclave. Ils m’ont fait juré une fraternité de sang. Ils m’ont reconnue comme faisant partie de leur famille. Une grande famille de déchus, de damnés. Le meilleur clan que je n’ai jamais vu. La plus puissante armée de tous les temps. Et nous préparons notre vengeance. Vous verrez. Ce sera beau, parce que ce sera fait de toute notre âme.
Voilà trois ans qu’elle a été intégrée aux troupes de l’Alliance. Tout d’abord réunie avec d’autres créatures improbables aux parcours tragiques, elle a dû suivre un apprentissage intensif de combat avec différentes armes, de maîtrise de magie. Elle se révéla douée en techniques de métamorphoses et dans tout ce qui se rapportait aux plantes. Talentueuse, dévouée et motivée, elle monta rapidement en grade. On la transféra bientôt dans la section d’Espionnage. Après avoir réussi de missions mineures qui permirent à l’Alliance d’annexer de petites zones de pouvoir comme des villages et des châteaux, la Nymphe reçut une demande d’une importance extrême : intégrer l’établissement dont l’Alliance avait juré la perte afin de collecter le maximum d’informations utiles.
Pour cela, elle prit l’identité d”Ysandre Neö”, jeune voyageur passionné de créatures ailées, et postula pour s’occuper des dragons au sein de la grandiose Maelthra Magthere.
Famille : “Les Nymphes du Cerisier n’ont pas de famille, elles n’ont que des maîtres” (proverbe de “Chasseurs de Fleurs”)
Liens :
-L'Alliance, pour qui elle travaille
-Un homme dont on ignore l’identité réelle, de métier “Chasseur de Fleurs” et bien décidé à retrouver sa Nymphe préférée [Je compte le proposer à des joueurs, il me semble intéressant qu'il intervienne un jour]
* Suppléments
Les pouvoirs de son élément : Ne faisant qu’un avec l’âme des cerisiers, Ysandre peut manier leurs branches et leurs racines à distance ou déclencher une violente tempête de pétales. Elle peut donc étrangler un ennemi ou encore l’étouffer sous une avalanche de fleurs (elle en produit autant qu’elle a d’énergie).
Au sein des troupes de l’Alliance, elle a appris quelques techniques de métamorphose. Son Elément étant basé sur les pouvoirs de Plantes, elle peut aussi produire des odeurs soporifiques assez puissantes, ou d’autres encore qui irritent les voies respiratoires, ou d’autres encore qui donnent le tournis. Evidemment, cela a ses limites. Elle ne peut pas tuer quelqu’un juste avec une odeur, mais seulement embrouiller un peu les sens. D’ailleurs, elle manie ce pouvoir de façon à ce qu’on ignore que c’est elle qui l’utilise sur le moment, ainsi son adversaire se croit malade et son moral chute.
Elle craint les Eléments brutaux comme le Feu, la Glace, la Foudre… Elle ne peut rien faire contre les métaux et les roches. L’enchaîner revient à l’affaiblir énormément.
Objets en sa possession : une multitude de gourdes et de jarres spécialement destinées à recueillir de l’eau “pure” (source ou pluie) dont Ysandre est friande.
Animaux de compagnie : Les volatiles l’apprécient beaucoup, venant parfois se poser sur sa tête ou son épaule car l’aura qu’elle dégage est aussi apaisante que celle d’un arbre. Les dragons éprouvent à son égard la même chose, ce qui fait qu’elle ne nécessite aucune autorité spéciale envers eux, ils la respectent naturellement.
Autre : /
Ysandre n’a jamais eu de dragon. Son style de vie jusqu’à maintenant ne le lui a pas permis. Mais en fréquentant Maethra Magthere, comment pourrait-elle faire autrement que de ne pas rêver d’en avoir un..?
* Derrière le miroir
Un mot sur vous ? ; Mouahaha devinez, c’est facile !
Co*de ; /
Disponibilités : Régulières. Sinon je préviens, c’est la moindre des choses.
D'où connaissez Vous le forum? Je me baladais et… PLOUF ! J’ai glissé, je me suis noyée dedans.
Dernière édition par Ysandre Neö le Mar 16 Fév - 16:33, édité 2 fois | |
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